NEWS 17 04 2013

Bonjour, Macro US 13H00 : MBA Demandes de prets hypo APR 12 Prcdt 4.5% 20H00 : US Federal Reserve Releases Beige Book La Banque centrale européenne (BCE) souhaite continuer à soutenir l’économie en zone euro mais de la manière la plus adéquate possible et dans le cadre de son mandat, a déclaré son président devant le Parlement européen, réfutant les accusations de manque de courage. « Ce n’est pas une question de courage mais de faire la bonne chose », a déclaré Mario Draghi, devant les députés européens réunis en plénière à Strasbourg et dont certains n’ont pas ménagé leurs critiques sur l’action de la BCE jugée trop timide en regard de ce que d’autres banques centrales ont entrepris. En particulier, alors que la BCE a réussi à desserrer l’étau autour des banques de la zone euro, menacées fin 2011 de tomber à court de liquidités en raison d’un marché inter-bancaire très frileux, cela n’a pas permis de relancer le crédit au secteur privé, notamment aux petites et moyennes entreprises (PME), menaçant le sursaut de la croissance attendu pour la seconde moitié de l’année. « Nous continuons à travailler à ce problème, dans le cadre de notre mandat », a dit M. Draghi, dont l’allocution était retransmise sur internet. Il a estimé que « l’exemple de certains pays n’est pas très encourageant », mais n’a toutefois pas dit quels pays il visait par ces propos. M. Draghi a par ailleurs répété que « la BCE ne peut pas faire tout pour tous à tout moment » et répété que d’autres « intervenants importants » avaient leur rôle à jouer, citant les gouvernements, la Banque européenne d’investissement et les banques centrales nationales des 17 pays de la zone euro. Lors de sa dernière conférence de presse mensuelle de politique monétaire début avril, M. Draghi avait annoncé que la BCE réfléchissait « à quelque chose qui soit à la fois utile et compatible avec notre mandat » pour encourager le crédit aux PME, sans vouloir préciser la direction de la réflexion. Il avait aussi précisé que la BCE ne pouvait agir seule. Le Fonds monétaire international (FMI) a annoncé mardi avoir revu à la baisse ses prévisions de croissance de l’économie mondiale pour cette année et l’an prochain, en raison notamment des coupes budgétaires aux Etats-Unis et des difficultés persistantes de l’Europe. L’organisation note cependant que l’horizon économique s’est éclairci ces derniers mois grâce à l’atténuation des risques financiers et elle a revu à la hausse ses prévisions pour le Japon, en saluant la nouvelle politique monétaire adoptée par Tokyo, qui devrait selon elle favoriser la croissance et l’inflation. »Les perspectives économiques mondiales se sont encore améliorées mais le chemin de la reprise dans les économies avancées va rester cahoteux », dit le FMI dans ses Perspectives économiques mondiales.Le FMI prévoit désormais une croissance mondiale de 3,3% cette année, soit 0,2 point de moins qu’attendu en janvier, et de 4,0% pour 2014, contre 4,1% prévu il y a trois mois.Pour les économies avancées, dont font partie les Etats-Unis et la zone euro, le Fonds table sur une croissance de 1,2% seulement cette année, contre 1,4% attendu en janvier. Sa prévision 2014 est inchangée à 2,2%.Pour la France, le FMI prévoit désormais une contraction de 0,1% du PIB cette année, contre une croissance de 0,3% prévue en janvier, et maintient sa prévision de 0,9% pour 2014. Le Fonds monétaire international et la Tunisie ont annoncé mardi être « proches d’un accord de principe » sur un plan d’aide de précaution de 1,75 milliard de dollars, un dossier en négociations depuis des mois, ralenti par la crise politique tunisienne. « Le FMI et le gouvernement tunisien sont proches d’un accord de principe sur l’octroi du prêt de 1,75 milliard de dollars », a indiqué devant la presse Amin Mati, directeur-adjoint Moyen-Orient et Asie centrale du FMI. Il a précisé qu’une décision finale pourrait être prise en mai pour ce crédit à un taux de 1,08% lors du HYPERLINK « http://www.lesechos.fr/finance-marches/vernimmen/definition_conseil-d-administration-ou-de-surveillance-et-direction.html#xtor=SEC-3168″conseil d’administration du FMI. Ces chiffres sont légèrement différents de ceux avancés précédemment et qui tablaient sur un prêt de précaution de 1,78 milliard de dollars à 1,5%. News AUTOMOBILE : Pas d’embellie sur le marché automobile européen en mars. Les chiffres publiés ce matin par l’ACEA font état d’un nouveau plongeon des immatriculations de 10,2%, à 1.307.107 unités pour les véhicules particuliers. Il s’agit du 18ème mois consécutif de repli. Sur le 1er trimestre 2013 entier, les immatriculations ont baissé de -9,8% à 2.989.486 unités en glissement annuel.Sur le seul mois de mars, le marché britannique a renoué avec la croissance (+5,9%), tandis que l’Italie résistait (-4,9%). En revanche en Espagne (-13,9%), France (-16,2%) et surtout en Allemagne (-17,1%), la situation est encore très négative. EADS : Daimler a commencé mardi à placer le solde de sa participation dans EADS, maison mère d’Airbus, dans le cadre de la plus importante recomposition de capital du groupe européen d’aéronautique, de défense et d’espace près de 13 ans après sa création.Le constructeur automobile allemand a dit avoir reçu une dérogation par rapport à une interdiction de vendre des titres pendant six mois, ce qui l’a conduit à lancer dans la foulée le placement de 61,1 millions de titres EADS, soit 7,5% du capital de l’entreprise. »C’est plutôt une surprise puisqu’on attendait cette opération plutôt au troisième ou au quatrième trimestre mais, étant donné la volatilité qui a caractérisé les marchés boursiers mondiaux ces derniers temps, c’est tactiquement une décision pertinente », a dit un analyste analyste Dans un communiqué, Bodo Uebber, directeur financier de Daimler, précise que la sortie du capital d’EADS permettra au constructeur de se concentrer exclusivement sur ses activités automobiles. »Nous investirons le produit de la cession dans la croissance mondiale de nos divisions (…) », souligne-t-il.Une source proche de l’opération a dit que Daimler plaçait sa participation à un prix compris entre 36,20 et 37 euros. Dans le haut de la fourchette, avec une décote de 0,5% par rapport au cours de clôture de mardi de 37,195 euros, le placement des 61,1 millions d’actions EADS de Daimler se ferait pour un montant total d’environ 2,26 milliards d’euros. Le prix sera fixé mercredi 17 avril. TECHNIP : HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Technip »Technip a obtenu, dans le cadre d’un consortium à parité avec Techint, un contrat auprès de PNBV, une filiale du géant brésilien Petrobras. Rangé dans la catégorie « conséquent » (250 à 500 millions d’euros de valeur), cet accord porte sur la construction et l’intégration des topsides, la mise en service et l’assistance au démarrage de l’unité flottante de production, stockage et déchargement (FPSO) P-76, au large de Rio de Janeiro. L’unité est appelée à produire 180.000 barils de pétrole et 7 millions de mètres cubes de gaz par jour. Le centre opérationnel de Technip à Rio de Janeiro réalisera le management de projet, l’ingénierie et la fourniture des équipements. La fabrication des modules de 24.000 tonnes, l’intégration et la mise en service seront réalisées sur le chantier naval de Techint, au sud du Brésil. Le projet devrait s’achever mi-2017. VIVENDI : L’agence Fitch a confirmé la notation crédit « BBB » de HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/vivendi-FR0000127771,FR.html »Vivendi, ainsi que sa perspective « stable ». Le principal enseignement de l’étude parue ce matin est que la marge de manoeuvre de la société par rapport à sa note actuelle est ténue, après l’acquisition d’EMI et l’érosion de la génération de cash-flow de SFR. L’agence concède cependant l’historique récent positif de l’intégration des acquisitions du groupe et sa discipline financière. « La notation de Vivendi sera sous pression si aucun signe de désendettement ne se matérialise en 2013 », prévient cependant Fitch. ARCELOR MITTAL : La filiale américaine d’HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=ArcelorMittal »ArcelorMittal a déposé une plainte pour violation de brevet contre AK Steel Holding, concernant un procédé de tôles à froid pour l’industrie automobile, rapporte Bloomberg. Les deux sociétés n’en sont pas à leur première passe d’armes sur cette technologie, mais ArcelorMittal avait perdu la manche initiale en 2010 devant la même juridiction américaine. Entretemps, le groupe semble avoir renforcé son brevet. EDENRED : Edenred a publié un chiffre d’affaires de 260 millions d’euros, en progression de 6,3% au premier trimestre. Cette croissance illustre une hausse de 8% du chiffre d’affaires opérationnel avec volume d’émission, une bonne performance des activités sans volume d’émission et une baisse de 6,3% du chiffre d’affaires financier. Ce dernier a été impacté par la diminution des taux de référence dans la plupart des pays. Le volume d’émission du spécialiste des services prépayés aux entreprises a augmenté de 9,8% à 4,2 milliards d’euros. au premier trimestre.Cette évolution reflète la forte performance de l’Amérique latine (+18,8%), une activité stable en Europe (-0,3%) malgré des effets calendaires négatifs et une dynamique positive dans le Reste du monde (+9,6%).Le groupe Edenred a confirmé son objectif de croissance du volume d’émission compris entre 6% et 14% par an à moyen terme. EDF : EDF Renewable Energy, la filiale américaine d’EDF Energies Nouvelles, annonce exercer son option d’achat de 49% des parts d’un projet éolien de de 161 MW, jusqu’alors co-détenu et développé en partenariat avec Cielo Wind Power.EDF Renewable Energy détient désormais 100% du projet Spinning Spur II, situé au Texas. ALSTOM : Deux cadres supérieurs de la filiale américaine d’HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0010220475&place=XPAR&codif=ISIN »Alstom ont été inculpés aux Etats-Unis pour leur rôle dans un projet présumé de versement de pots-de-vin en Indonésie, ont fait savoir mardi les autorités américaines. Frédéric Pierucci, qui était vice-président des ventes mondiales de la filiale américaine, a été arrêté dimanche soir à l’aéroport JFK de New York. L’autre, David Rothschild, ancien vice-président des ventes de la filiale, avait plaidé coupable en novembre de conspiration en vue de violer le droit américain qui interdit de verser des pots-de-vin à des responsables d’un gouvernement étranger. Tous deux, ainsi que d’autres personnes, sont accusés d’avoir soudoyé un député indonésien et des responsables d’une compagnie nationale d’électricité indonésienne, Perusahaan Listrik Negara, afin de décrocher un contrat lié au projet énergétique Tarahan, ont déclaré les procureurs SAFRAN : Safran va concevoir et intégrer plusieurs systèmes avioniques de communication et de navigation pour le compte du fabricant d’hélicoptères brésilien Helibras, filiale d’Eurocopter. Dans le cadre de la modernisation de 34 hélicoptères Esquilo et Fennec de l’armée brésilienne, Safran Engineering Services va notamment intégrer le nouveau système de cockpit tout numérique de Sagem, filiale de Safran, et le système de pilotage automatique.Safran accompagnera également le fabricant brésilien dans l’obtention de la certification DCTA. INTEL : Intel a annoncé mardi des résultats trimestriels et des prévisions conformes aux attentes dans un contexte pourtant peu porteur pour les micro-ordinateurs, dont les ventes chutent en raison de l’engouement pour les tablettes et les smartphones.Le numéro un mondial des semi-conducteurs, qui équipe l’écrasante majorité des PC, a ainsi fait état d’un bénéfice net du premier trimestre de 2,0 milliards de dollars (1,52 milliard d’euros), soit 0,40 dollar par action alors que les analystes financiers avaient anticipé 0,41 dollar selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S.Le chiffre d’affaires du groupe est ressorti à 12,58 milliards de dollars contre un consensus de 12,588 milliards. Pour le trimestre qui vient de commencer, Intel a dit anticiper des ventes de 12,9 milliards, ajoutant que sa prévision comportait une marge d’erreur de 500 millions de dollars. BPCE : La banque mutualiste BPCE (Banque populaire-Caisse d’épargne) a annoncé mardi être parvenue à un accord définitif avec le fonds Equistone Partners pour lui céder sa filiale Meilleurtaux, spécialisée dans le courtage de crédit immobilier.Les deux groupes avaient entamé des négociations exclusives en vue de cette vente à la mi-février.BPCE, maison mère de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000120685&place=XPAR&codif=ISIN »Natixis, n’a pas précisé le montant de la transaction. »Le projet de cession, qui a reçu un avis favorable des instances représentatives du personnel de Meilleurtaux.com, a été réalisé le 16 avril 2013″, indique la banque dans un communiqué.Equistone Partners est le fonds d’investissement détenu et géré par l’ancienne équipe de Barclays Private Equity. JOHNSON & JOHNSON :Les résultats de Johnson & Johnson ont légèrement dépassé les attentes du marché sur le premier trimestre 2013.Le bénéfice net s’est établi à 3,5 milliards de dollars sur la période, soit 1,22 dollar par action. Hors éléments exceptionnels, ce BPA a progressé de 5,1% à 1,44 dollar, dépassant ainsi de quelques cents l’estimation moyenne des analystes.En tout, les revenus du groupe américain de santé se sont accrus de 8,5% à 17,5 milliards de dollars, une progression dopée par l’intégration de Synthes.Le chiffre d’affaires du premier trimestre ressort un peu supérieur aux attentes.Pour l’exercice 2013, Johnson & Johnson confirme viser un BPA ajusté compris entre 5,35 et 5,45 dollars, à comparer à 5,10 dollars sur l’exercice écoulé. COCA COLA : Coca-Cola a publié mardi un bénéfice trimestriel légèrement supérieur aux attentes, ce qui se traduisait par une hausse du titre dans les cotations d’avant-Bourse.Le numéro un mondial des boissons non alcoolisées a dégagé sur les trois premiers mois de l’année un bénéfice de 1,75 milliards de dollars, ou 0,39 dollar par action, contre un profit de 2,05 milliards (45 cents par titre) un an plus tôt.A données comparables, le bénéfice par action de Coca ressort à 0,46 dollar, alors que les analystes prévoyaient en moyenne 0,45 dollar. GOLDMAN SACHS : Goldman Sachs a fait état mardi d’une hausse de 5,5%, supérieure aux attentes, de son bénéfice au premier trimestre, soutenue par la croissance des revenus de ses activités de conseil aux émetteurs et de banque d’investissement.La première banque d’affaires américaine a réalisé sur les trois premiers mois de l’année un bénéfice net attribuable aux actionnaires ordinaires de 2,19 milliards de dollars (1,67 milliard d’euros), soit 4,29 dollars par action, contre 2,07 milliards (3,92 dollars/action) un an auparavant.Les analystes financiers prévoyaient en moyenne un bénéfice par action hors exceptionnels de 3,88 dollars selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S. Le PDG, Lloyd Blankfein, a qualifié ces résultats de « globalement solides » tout en soulignant que « le risque d’instabilité macroéconomique s’est fait ressentir au cours du trimestre et a pesé sur l’activité globale des entreprises et des investisseurs ». TARGET : Target a annoncé qu’il n’atteindrait pas ses objectifs au premier trimestre en raison de ventes décevantes liées à une météo défavorable. Le distributeur spécialisé dans le discount prévoit un bénéfice par action hors éléments exceptionnels compris entre 1,10 et 1,20 dollar à l’issue de la période de 3 mois achevée fin avril. Les analystes tablent sur 0,96 dollar. Le groupe a prévenu que ses ventes à magasins comparables, une mesure clef de la santé du secteur, serait stable. Target a confirmé sa prévision d’un BPA 2013 compris entre 4,85 et 5,05 dollars. Le consensus est de 4,55 dollars. ING GROEP : La filiale américaine du groupe de services financiers néerlandais ING prévoit de vendre 64,2 millions actions ordinaires à un prix unitaire compris entre 21 et 24 dollars dans le cadre de son introduction en Bourse aux Etats-Unis.L’entreprise avait déposé en novembre dernier un dossier à cet effet, disant à l’époque que l’opération pouvait porter sur une somme allant jusqu’à 100 millions de dollars (76 millions d’euros). ING USA a annoncé la semaine dernière qu’il changerait de nom à la suite de l’opération pour s’appeler désormais Voya Financial. ASML : ASML a annoncé mercredi un bénéfice supérieur aux attentes des analyste au titre du premier trimestre de son exercice 2013 et confirmé sa prévision de chiffre d’affaires annuel.Le premier équipementier mondial des semiconducteurs, présenté comme un baromètre de la santé du secteur technologique, a dégagé un bénéfice net de 96 millions d’euros, contre 82,1 millions prévus en moyenne par les analystes. Les ventes sont quant à elles ressorties à 892 millions d’euros, contre 859 millions prévus en moyenne dans le consensus.Le groupe néerlandais a par ailleurs annoncé que son directeur financier Peter Wennink deviendrait directeur général à partir du 1er juillet en remplacement d’Eric Meurice. Ce dernier prendra la présidence d’ASML AMERICAN AIRLINES : American Airlines a annoncé mardi que ses systèmes informatiques étaient à nouveaux pleinement opérationnels après une panne de plusieurs heures qui a cloué sa flotte au sol.La compagnie aérienne américaine a toutefois ajouté que des retards et des annulations de vols étaient encore à attendre pour le reste de la journée.La filiale d’AMR a précisé n’avoir aucune preuve que les problèmes informatiques étaient liés d’une manière ou d’une autre au double attentat de Boston qui fait trois morts lundi. Brokers Morgan Stanley entame le suivi de HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/bureau-veritas-FR0006174348,FR.html »Bureau Veritas à « pondération en ligne ». HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/danone-FR0000120644,FR.html »Danone entre dans la liste des valeurs préférées de Citi. Berenberg reste vendeur de HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/danone-FR0000120644,FR.html »Danone mais rehausse de 51 à 53 euros son objectif. MC : Prix baissé à 140 par SG BN : Prix augmenté à 62 par Nomura BN : Prix augmenté à 65 par Goldman Sachs