Bonjour, Macro US 12H00 : MBA demandes de prêts hypothécaires MAR1 5 précdt -4.7% 19H00 : FOMC décision de la FED MAR 20 0.25% précdt 0.25% La Banque centrale européenne (HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=BCE »BCE), a dit mardi prendre acte de la décision du Parlement chypriote de ne pas approuver le projet de taxation des comptes bancaires, tout en se disant prête à poursuivre l’apport de liquidités, si nécessaire, dans le respect des règles. Plus tôt dans la soirée, le Parlement chypriote a rejeté à une large majorité le projet de loi sur la taxation des dépôts, condition du déblocage d’une aide financière internationale de 10 milliards d’euros. Grèce La HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Gr%C3%A8ce »Grèce est sur le point de conclure la reprise par des capitaux locaux des succursales des banques chypriotes installées sur son sol, qui intéressent au moins deux des principaux groupes bancaires du pays, a-t-on appris mardi de plusieurs sources gouvernementales et bancaires. Athènes s’efforce de boucler au plus vite un accord afin d’éviter les retombées du projet de taxation des dépôts à HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Chypre »Chypre, mais l’opposition à ce projet à Nicosie ralentit le processus. Chypre Le Parlement chypriote a rejeté mardi soir le projet de loi instituant une taxation des dépôts bancaires par une large majorité de 36 voix et 19 abstentions. Trois jours après l’accord conclu à Bruxelles par les ministres des Finances de la zone euro, supposé sauver l’économie chypriote de la faillite, la situation s’enlise donc et le débat s’envenime entre Nicosie d’un côté, les Européens et les Russes, de l’autre. Le Parlement chypriote s’est réuni mardi en fin d’après-midi pour débattre du projet de loi un peu modifié par rapport aux termes de l’accord conclu à Bruxelles. Le Parlement chypriote a rejeté mardi soir à une large majorité le projet de loi sur la taxation des comptes bancaires, condition du déblocage d’une aide financière internationale de 10 milliards d’euros. Le montant total des dépôts hongrois fin 2011 dans des banques à Chypre s’élèverait, selon les chiffres de la Banque centrale MNB, à 918 millions d’euros, rapporte mardi le quotidien hongrois de centre-gauche Nepszabadsag. Le 16 mars, Chypre a conclu un premier accord avec ses bailleurs de fonds de la zone euro et du Fonds monétaire international (HYPERLINK « http://lesechospedia.lesechos.fr/fmi.htm?xtor=SEC-3167″FMI) sur un plan d’aide qui prévoit en contrepartie d’un prêt de 10 milliards d’euros pour l’île au bord de la faillite une taxe exceptionnelle de 6,75% sur tous les dépôts bancaires jusqu’à 100.000 euros et de 9,9% au-dessus, pour réunir 5,8 milliards d’euros. Le gouvernement chypriote pourrait toutefois encore décider d’exonérer les dépôts inférieurs à 20.000 euros. Lundi, le secrétaire d’Etat hongrois en charge de la Stratégie économique, Zoltan Csefalvay, avait estimé que la dévaluation de la monnaie locale le forint (HUF) était due au plan de sauvetage de Chypre Espagne Le ratio de créances douteuses des banques espagnoles est reparti en hausse en janvier après avoir diminué en décembre à l’occasion du lancement de la structure de défaisance, appelée « bad bank » ou Sareb, destinée à gérer les actifs toxiques hérités de l’éclatement de la bulle immobilière.Les prêts à risque atteignaient 10,78% en janvier contre 10,44% en décembre, montrent les données de la Banque d’HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Espagne »Espagne publiées mardi.Le montant de ces créances a augmenté de 3,2 milliards d’euros alors que la récession continue à affecter les banques. La baisse du mois de décembre était la première en deux ans, mais sinon, le montant des prêts à risque des banques espagnoles n’a cessé d’augmenter, conséquence du krach immobilier de 2008.Les analystes s’attendent ce que ce ratio continue de monter en 2013, dans une économie espagnole, caractérisée par un taux de chômage de 26%, qui ne devrait pas renouer avec la croissance avant 2014. La Sareb, mise en place par l’Etat pour restaurer la confiance dans le secteur bancaire, avait reçu plus de 50 milliards d’euros d’actifs immobiliers toxiques à fin février. Les Pays-Bas Les Pays Bas songent à céder une part dans Urenco, le deuxième producteur mondial de combustible nucléaire, a déclaré mardi un porte-parole du ministère néerlandais des Finances, confirmant des propos tenus par le ministre des Finances HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Jeroen%20Dijsselbloem »Jeroen Dijsselbloem devant le Parlement. « Il y a deux autres actionnaires qui ont dit qu’ils souhaitaient vendre et désormais, nous devons décider comment répondre à cela », a dit le porte-parole.Urenco est également détenu par le gouvernement britannique et les groupes allemands de services aux collectivités RWE et E.ON. Agence de notation Près de 60% des 50 pays étudiés par l’agence d’évaluation financière HYPERLINK « http://www.standardandpoors.com » nStandard and Poor’s (S&P) dans une étude publiée mardi seraient notés en catégorie spéculative (note inférieure à BBB-) en 2050 faute de mesures d’ajustement au vieillissement de la population. L’échantillon étudié représente plus des deux tiers de la population mondiale.L’agence précise que l’étude ne prend pas en compte les effets de mesures mises en place ou annoncées pour 2012, 2013 et 2014 en Autriche, Belgique, Bulgarie, République tchèque, France, Grèce, Hongrie et Slovénie. Elle relève d’ailleurs que beaucoup de pays, en particulier en Europe, « ont récemment accéléré des changements structurels relatifs aux dépenses liées au vieillissement ».Sans mesures d’ajustement supplémentaires, S&P prévoit que la charge financière liée aux dépenses associées au vieillissement et aux intérêts de la dette va augmenter graduellement. Adjudications En attendant une adjudication de long terme prévue jeudi, l’Espagne a émis hier, 4 Milliards d’euros de dette à court terme, soit le montant maximal visé, avec des taux en baisse. Le Trésor a levé 1,74 Milliard d’euro de bons à 3 mois à un taux moyen de 0,285% contre 0,421% auparavant et 2,26 MdsE d’obligations à 9 mois à un rendement moyen de 1% contre 1,144% précédemment. News Dans le cadre de son étude annuelle sur la défaillance des entreprises au niveau mondial, intitulée « 2012 Annual Global Corporate Default Study And Rating Transitions», l’agence de notation financière Standard & Poor’s a révélé un rebond du nombre de défaut d’entreprises. En effet, sur l’ensemble des entreprises ayant été notées par S&P, soit 6013 entités, 84 entreprises ont fait défaut, contre 53 entreprises en 2011, et 83 en 2010.Le montant de la dette correspondant s’élève à 86,7 milliards de dollars en 2012 (84,3 milliards en 2011, et 97.4 milliards en 2010).D’ailleurs, aucune des entreprises qui ont fait défaut en 2012 n’était notée en catégorie investissement au 1er janvier 2012. Seule, une société avait été notée en catégorie investissement l’année précédant son défaut (au seuil de la catégorie spéculative, à « BBB- » avec une perspective négative) et huit avaient été à l’origine notées en catégorie investissement. Elles ont mis près de 18 ans en moyenne entre cette première notation et leur défaut alors que les entreprises notées en catégorie spéculative (BB+ ou moins) ont mis près de 5 ans à faire défaut.Ainsi, la majeur partie des sociétés, soit plus de 77% étaient notées au mieux « B-« .Plus de la moitié des défauts sont intervenus aux Etats-Unis, aux Bermudes ou aux iles Caïmans (47 sur 84). Seulement 9 défauts sont intervenus en Europe et 25 dans les pays émergents (dont 11 en Amérique Latine). BANQUES : Les principales banques du monde se sont nettement rapprochés des objectifs de solvabilité fixés par la réforme dite de « Bâle III », prenant plusieurs années d’avance sur le calendrier prévu, montrent deux rapports publiés mardi par deux autorités internationales de supervision du secteur.Le Comité de Bâle, qui rassemble des autorités de supervision d’une trentaine de pays et est à l’origine des nouvelles dispositions, a calculé que les 101 principales banques suivies avaient besoin, en juin dernier, de 208,2 milliards d’euros de fonds propres supplémentaires pour respecter les objectifs, soit 176 milliards de moins qu’en décembre 2011.La mise en oeuvre de Bâle III étant étalée sur plus de six ans à compter de janvier de cette année, la nouvelle étude montre que les banques pourraient respecter les nouvelles règles bien plus tôt que prévu.L’écart qui reste à combler inclut les « surcharges de capital » que les plus importantes des banques doivent détenir à partir de 2016 en plus du plancher fixé par Bâle III.De son côté, l’Autorité bancaire européenne (ABE) explique, dans une étude menée en parallèle à celle du Comité de Bâle, que les principales banques européennes avaient besoin en juin de lever 112,4 milliards d’euros pour atteindre le ratio de fonds propres minimal de 7%.Cela signifie que plus de la moitié des besoins de fonds propres identifiés par le comité de Bâle pour les 44 premières banques de l’Union européenne avaient été satisfaits.Le Comité de Bâle précise que le ratio de fonds propres « durs » des principaux établissements s’établissait à 8,5% en juin dernier.En outre, les 101 banques étudiées ont généré entre le 1er juillet 2011 et le 30 juin 2012 des bénéfices avant impôt et dividendes de 380 milliards d’euros au total, ce qui implique que leurs besoins pourraient être comblés sans avoir à faire appel aux marchés. SECHE ENVIRONNEMENT : La tension monte autour du dossier Saur. Les banques créancières, au nombre de 63 et menées par le trio HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/bnp-paribas-FR0000131104,FR.html »BNP Paribas, RBS et BPCE (53% de la dette), auraient présenté un plan leur conférant la totalité du capital du holding de contrôle, HIME, selon les informations du ‘Figaro’. Le hic, c’est que le Fonds Stratégique d’Investissement, qui détient 33% du capital du numéro trois français de l’eau, s’y oppose car il estime que la solution n’est pas pérenne pour l’entreprise, même si les financiers se sont engagés à maintenir le management actuel et son projet.Le problème, récurrent, de la Saur est un surendettement massif par rapport à ses ressources opérationnelles. Les banques créancières ont prévu de s’assoir sur une fraction minoritaire de leurs créances, d’en convertir une bonne partie en actions et d’en maintenir le solde, selon le quotidien. Pour les actionnaires actuels, dont HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/seche-environnement-FR0000039109,FR.html »Séché Environnement, la pilule pourrait être dure à avaler. EURAZEO : HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/cotations/fiche/societe/profil.jsp?code=FR0000121121&place=XPAR&codif=ISIN »Eurazeo a fait état mercredi d’une nouvelle perte pour son exercice 2012, pénalisé par les charges liées à des cessions d’actifs et au refinancement d’entreprises détenues en portefeuille.La société d’investissement indique dans un communiqué avoir dégagé une perte consolidée de 198 millions d’euros l’an dernier contre une précédente perte de 111 millions en 2011.Sur la période, son chiffre d’affaires a crû de 9,4% à 8,3 milliards d’euros tandis que son actif net réévalué a progressé de 16% à 56,8 euros par action.Eurazeo, qui a cédé début mars sa participation de 10,2% dans HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0010908533&place=XPAR&codif=ISIN »Edenred, fait savoir que la société accélérera cette année la rotation de son portefeuille.Les cessions réalisées ont déjà entraîné une rotation de 14% de son actif net réévalué depuis le début de l’année après une rotation de 13% l’an dernier ALTRAN : Dans une précision publiée mardi à la demande de l’Autorité des marchés financiers, le groupe d’ingénierie et de conseil en technologies Altran a indiqué « ne donner aucune prévision financière au titre de l’année 2013 ». « Néanmoins, en cohérence avec son plan stratégique 2015, la société confirme son objectif de croissance profitable pour l’exercice en cours et sa volonté d’être en ligne avec le consensus de marché qui se situe aux alentours de 9% pour le résultat opérationnel courant 2013 » à comparer à une progression de sa marge de 8,6% en 2012, a ajouté Altran dans un communiqué. ERAMET :Eramet a annoncé mardi soir que la Cour d’appel de Paris avait confirmé le jugement du Tribunal de commerce dans le conflit opposant la société Carlo Tassara France, de l’homme d’affaires Romain Zaleski, et la famille Duval. Romain Zaleski souhaitait obtenir l’annulation pour fraude de l’apport à Eramet par la famille Duval de la Société industrielle de métallurgie avancée (Sima) pour 450 millions d’euros en 1999 en échange de 37% du capital d’Eramet. NRJ GROUP : NRJ Group a publié un résultat net part du groupe 2012 de 37,10 millions d’euros, en recul de 18,6%, et un résultat opérationnel courant hors échanges dissimilaires de 63,5 millions d’euros, en hausse de 3,8%. Le groupe de médias souligne qu’il a fait progresser son résultat opérationnel courant malgré la contraction du marché publicitaire en France. Le principal pôle du groupe (Médias Musicaux et Evénementiel), qui regroupe principalement ses activités de radios, a cependant enregistré une baisse de 9,9% de son résultat opérationnel courant à 48,1 millions d’euros. AIR France : Air France-KLM lance aujourd’hui une émission d’OCEANE à échéance 15 février 2023 (les « Obligations »). Le montant nominal initial de l’émission sera d’environ 480 millions d’euros. Ce montant est susceptible d’être porté à un montant nominal maximum d’environ 550 millions d’euros en cas d’exercice en totalité de la clause d’extension d’environ 15% du montant initial par Air France-KLM en accord avec les Coordinateurs Globaux, Chefs de File et Teneurs de Livre Associés, au plus tard le 25 mars 2013.Les actionnaires d’Air France-KLM au 19 mars 2013 bénéficient d’un délai de priorité de trois jours de bourse pour passer un ordre de souscription, soit du 20 mars 2013 au 22 mars 2013 (17h00, heure de Paris) inclus (sous réserve des restrictions de placement applicables). Cet ordre pourra porter sur un montant maximum en euros correspondant à leur quote-part respective dans le capital d’Air France-KLM appliquée au montant maximum de l’émission, soit environ 550 millions d’euros. L’Etat français a décidé de souscrire à cette émission dans le cadre du délai de priorité à hauteur de la totalité de sa participation dans le capital d’Air France-KLM, soit 15,9%. La valeur nominale unitaire des Obligations fera ressortir une prime d’émission comprise entre 30% et 35% par rapport au Cours de Référence. SAFRAN : La commande géante de 175 B737-800 passée par HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Ryanair »Ryanair à HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Boeing »Boeing fait les affaires de CFM International, la co-entreprise entre HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Safran »Safran et HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=General%20Electric »General Electric. En effet, le motoriste équipera chacun des appareils du CFM56-7BE, ce qui représente un contrat global de 3,7 milliards de dollars aux prix catalogue. Le mois de mars est faste pour la société, puisque il y a moins de dix jours, elle avait décroché une autre commande pour motoriser avec des CFM56-5B et Leap-1A 51 A320 commandés par AviancTaca, pour un montant de 2,5 milliards de dollars, incluant un contrat de maintenance. En parallèle, CFM International avait signé avec le loueur chinois CALC pour 25 CFM56-5B destinés à des A320, pour environ 500 millions de dollars. MAUREL ET PROM : a exercé les options d’achat qu’il détenait pour acquérir 27.500.000 actions de la société canadienne Tuscany International, soit 7,32% de son capital. Sa détention ressort ainsi à 29,05%, soit 109.000 actions. La société d’exploration pétrolière française n’a désormais plus d’options. Il faut noter que cette annonce ne modifie pas vraiment la donne puisque Maurel communiquait déjà sur une détention de 29,05% du capital, qui intégrait l’exercice des options. Maurel et Prom était entré au capital de Tuscany en juin 2012, après la cession de Caroil. La société est inscrite dans les comptes par mise en équivalence, pour une valeur de bilan de 83,56 millions d’euros dans les comptes semestriels. Les comptes intermédiaires de Tuscany faisaient ressortir un chiffre d’affaires de 138,38 millions d’euros et 1,19 million d’euros de bénéfice net. EADS : Le constructeur européen de missiles MBDA a annoncé mardi des prises de commandes bien moins élevées que prévu en 2012 à la suite du report de deux programmes phares, et s’est montré très inquiet concernant les conclusions à venir du Livre blanc de la défense en France. Le Livre blanc, chargé de définir les besoins et les priorités de l’armée française pour la période 2014-2019, est attendu dans les prochains jours. Plusieurs scénarios ont été évoqués, chacun d’entre eux comportant une cure d’austérité plus ou moins drastique. MBDA, coentreprise entre HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=NL0000235190&place=XPAR&codif=ISIN »EADS (37,5%), le britannique BAE Systems (37,5%) et l’italien HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=IT0003856405&place=XMIL&codif=ISIN »Finmeccanica (25%), pourrait subir des renégociations à la baisse ou des rééchelonnements de contrats, comme d’autres industriels de la défense. ELECTRONIC ARTS : Hier, le titre chute de près de 9% en ce moment à Wall Street, à 17$. L’éditeur américain de jeux vidéo a annoncé hier soir que son CEO John Riccitiello allait quitter son poste le 30 mars prochain. Larry Probst (CEO de l’éditeur entre 1991 et 2007) va rediriger le Groupe en attendant que le conseil d’administration trouve un nouveau CEO. John Riccitiello va également quitter le conseil d’administration. EA a par ailleurs annoncé que ses bénéfices par action du quatrième trimestre fiscal, ainsi que ses revenus, seront proches, voire légèrement en-dessous, des bornes inférieures des guidances dévoilées précédemment.Nous avons manqué les objectifs fixés il y a un an, a expliqué J. Riccitiello dans sa lettre de démission. Les actionnaires et les employés d’EA attendaient mieux et je suis responsable de cet échec.Les résultats trimestriels seront publiés le 7 mai prochain. YAHOO : discute d’une prise de contrôle du site de diffusion de vidéos sur internet Dailymotion, actuellement détenu par FRANCE TELECOM, rapporte mardi le Wall Street Journal. VOLKSWAGEN : Volkswagen rappellera à partir du 2 avril 384.181 véhicules en HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Chine »Chine pour réparer un problème de boîte de vitesses, a annoncé mercredi l’administration chinoise chargée de la qualité.Le rappel portera, entre autres modèles, sur des Passat, Sagitar, Golf et Touran construits par les coentreprises de VW en HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Chine »Chine, ainsi que sur des modèles importés, en particulier des Audi A3 construites entre février 2010 et juin 2011, a précisé l’Administration générale de surveillance de la qualité, d’inspection et de quarantaine.Volkswagen, premier constructeur automobile étranger en HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Chine »Chine, a confirmé le rappel dans un communiqué.Le groupe de Wolfsburg, qui construit des véhicules en Chine avec SAIC Motor et FAW Group, y a vendu 2,81 millions d’automobiles l’an passé. Il compte pratiquement doubler les capacités de production à quatre millions en Chine dans les cinq ans à venir. BG GROUP : BG Group doit signer un accord de fourniture de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/matieres_premieres/petrole.jsp »gaz naturel liquéfié (GNL) à l’Etat indien du Gujarat, accord de 20 ans susceptible de représenter jusqu’à 20 milliards de dollars (15,5 milliards d’euros), écrit le Financial Times, citant des personnes proches du dossier. Le quotidien financier précise que BG signera l’accord définitif vendredi, confirmant la valeur du contrat et la date du début des opérations. BG n’était pas disponible dans l’immédiat. SIEMENS : HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Siemens »Siemens profite de la hausse de l’action HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Atos »Atos pour engager la cession des 250 millions d’euros d’obligations convertibles obtenues dans le cadre du rachat de SIS par la société française en juillet 2011. Le prix obtenu dépendra des conditions de placement, mais le conglomérat allemand souligne que sur la base du cours de la veille (56,75 euros), l’opération pourrait lui rapporter quelque 300 millions d’euros. En revanche, Siemens ne prévoit pas de modifier sa détention directe de 15% au capital d’Atos, « au vu de la très bonne coopération opérationnelle et stratégique entretenue avec Atos, parmi d’autres facteurs ». MERSEN – Publication en ligne, perspectives prudentes ROC 76,3M€ vs 103,5M€ n-1 RN 6,3M€ vs 59,7M€ n-1 Décryptage : le groupe a publié un ROC12 de 76,3M€ faisant ressortir une marge opérationnelle courante de 9,4%. Cette publication s’est établie en ligne avec nos attentes (rappel estimations Portzamparc 74,1M€) et celles de la sociéte (mopc autour de 9%). Le résultat net a été comme attendu impacté par les pertes de valeur liées au programme de cession d’activité (25,4M€) et aux coûts de restructuration (11,3M€) liés au programme d’adaptation. La génération de cash ressort supérieure à nos attentes (DFN de 241M€ vs 255M€e) compte tenu d’une baisse du BFR plus importante qu’anticipé. Les perspectives restent prudentes pour 2013 (guidance CA stable à pcc avec un S1 toujours difficile, mopc autour de 9%) soit légèrement en dessous de nos précédentes attentes (scénario Portzamparc : CA +2% à pcc, mopc 10%) que nous devrions revoir quelque peu en baisse. Valorisation : dans l’attente de la réunion d’analystes de ce matin, nous maintenons inchangée notre Opinion Renforcer(2), objectif 23,5€. /JBB Brokers Morgan Stanley relève sa recommandation sur Telefonica de ‘pondérer en ligne’ à ‘surpondérer’, avec un objectif de cours ajusté de 12,5 à 13 euros.Le broker estime que l’Espagne, qui se transforme en marché convergent et fondé sur les infrastructures, devient plus attractif pour le groupe, qui est nettement en avance dans le déploiement de la fibre optique par rapport à ses concurrents comme Orange ou Vodafone. Morgan Stanley juge prudentes les prévisions de Telefonica pour les années à venir : le courtier attend une baisse de 5% de l’OIBDA cette année, mais une stabilisation en 2014 puis un redressement par la suite.Par ailleurs, l’intermédiaire juge l’action de l’opérateur télécoms ‘bon marché’, à cinq fois l’EBITDA, 10 ou 11 fois les résultats et à un rendement FCFE de 12 à 14%. SocGen dégrade HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/accor-FR0000120404,FR.html »Accor de « achat » à « conserver ». Crédit Suisse passe de « sousperformance » à « neutre »sur ACCOR. Morgan Stanley abaisse son opinion de « surpondérer » à « pondération en ligne » sur HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/iliad-FR0004035913,FR.html »Iliad. Goldman Sachs passe à l’achat sur HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/technicolor-FR0010918292,FR.html »Technicolor. Berenberg revalorise HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/ses-LU0088087324,FR.html »SES (« conserver ») de 22,50 à 28,60 euros et HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/eutelsat-FR0010221234,FR.html »Eutelsat (« vendre ») de « 22,60 à 26,50 euros. HSBC dégrade HYPERLINK « http://www.boursier.com/actions/cours/sechilienne-sidec-FR0000060402,FR.html »Séchilienne-Sidec de « surpondérer » à « neutre PUBLICIS : prix cible augmenté à 61 par Goldman Sachs LAGARDERE : prix cible augmenté à 32.90 par Goldman Sachs BOUYGUES : prix cible augmenté à 24 par HSBC SECHILIENNE : Gilbert Dupont reste à l’achat objectif 18.20 PSB INDUSTRIE : Oddo relève objectif de cours de 26.50 à 27.50 ALTRAN : NFinance reste à l’achat objectif 7.61 REMY COINTREAU : HSBC relève à sur pondérer objectif 110 STMICROELECTRONICS : Société Générale vise 7.7 euros