NEWS 14 02 2013

Bonjour, Macro US 14H30 : Nvlles demandes allocations chômage FEB9 360K précdt 366K 14H30 : Demandes continues FEB2 3205K précdt 3224K 15H45 : Bien être des consommateurs Bloomberg FEB10 précdt -36.3 Angleterre L’engagement pris par la Banque d’Angleterre de faire de Londres l’une des principales places financières internationales pour les transactions en yuan chinois nourrit l’espoir de voir la City jouir à nouveau d’une bonne fortune comparable à celle qui fut la sienne avec le dollar dans les années 1960 et 1970.La banque centrale britannique a annoncé en janvier son accord de principe à la mise en place d’une ligne de « swap » de devises avec la Banque populaire de Chine, alors même que le yuan commence à émerger comme monnaie de réserve. La HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Grande-Bretagne »Grande-Bretagne serait ainsi la première grande puissance économique à établir une telle facilité avec la HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Chine »Chine, sur le modèle de celles existants pour le dollar, l’euro ou le HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/cours.jsp?code=USDJPY&place=WFORX&codif=ISO »yen. Allemagne L’HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Allemagne »Allemagne a placé mercredi pour 4,301 milliards d’euros de son nouveau Schatz à deux ans, à un rendement moyen de 0,21%, attirant une demande plus fournie que lors de l’adjudication de janvier.Le ratio de couverture ressort à 1,8 contre 1,5 pour l’adjudication du 2 janvier, a précisé la Bundesbank.L’adjudication de janvier avait produit un rendement moyen de 0,01%. Les titres placés à ce moment-là avait un coupon nul, alors que les Schatz adjugés mercredi portent un coupon de 0,25%. Hongrie La Hongrie a emprunté 3,25 milliards de dollars (2,5 milliards d’euros) sur le marché obligataire, pour sa première émission depuis le récent échec des négociations avec le FMI, a indiqué mercredi le Centre de gestion de la dette nationale (AKK). « La Hongrie a placé des obligations arrivant à échéance dans 5 ans d’une valeur de 1,25 milliard de dollars à un taux de 4,12%, et des obligations arrivant à échéance dans 10 ans de 2,0 milliards de dollars à un taux de 5,37% », a déclaré mercredi Laszlo Andras Borbely, le vice-président de l’AKK à la radio nationale MR1. Ce placement sur le marché obligataire est le premier de la Hongrie depuis mai 2011, et depuis le récent échec des discussions avec le Fonds monétaire international (FMI) en vue de l’obtention d’une ligne de crédit de près de 15 milliards d’euros. « L’intérêt des investisseurs était très fort pour les obligations en dollars », a ajouté l’AKK dans un communiqué mercredi, en chiffrant la demande à 12 milliards de dollars. « Avec l’émission de mardi, la moitié de notre programme de ventes d’obligations d’Etat en devises étrangères a déjà pratiquement été réalisé », a ajouté M. Borbely. La Hongrie prévoit de placer 5,1 milliards d’euros sur le marché obligataire cette année. France Jean-Marc Ayrault a reconnu mercredi soir pour la première fois que l’objectif d’un déficit public ramené à 3% du PIB d’ici la fin de l’année ne serait pas atteint.Le Premier ministre français a cependant réaffirmé que l’objectif d’atteindre 0% de déficit d’ici la fin du quinquennat, en 2017, le serait en revanche. La prévision de croissance économique de la France pour 2013 est à revoir après l’annonce d’une croissance nulle en 2012, a déclaré jeudi le ministre de l’Economie et des Finances, HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Pierre%20Moscovici »Pierre Moscovici, jugeant qu’il faudra en conséquence avoir une réflexion européenne sur l’équilibre déficit-croissance. Japon la Banque du Japon maintient à 76.000 milliards de yens sont programme de rachat d’actifs. Le PIB japonais se contracte au 4ème trimestre, alors que les économistes espéraient une légère croissance. L’économie japonaise s’est contractée pour le troisième trimestre consécutif au cours des trois derniers mois de 2012, mais certains signes laissent entrevoir un rebond à la faveur d’une reprise du secteur exportateur. Le produit intérieur brut de l’archipel a diminué de 0,1% sur la période allant d’octobre à décembre par rapport au trimestre précédent, alors que l’estimation médiane des économistes interrogés par Reuters laissait espérer une timide croissance de 0,1%.Ces chiffres n’ont eu aucune incidence sur la HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=BOJ »Banque du Japon qui a annoncé jeudi le maintien en l’état de sa politique monétaire et s’est abstenue, comme attendue, d’annoncer de nouveaux rachats d’actifs. News Selon les dernières données de Thomson Reuters, sur les 353 entreprises du S&P500 ayant déjà dévoilé leurs derniers résultats, 70,3% ont dépassé les attentes des analystes, contre une moyenne de 62% depuis 1994 et 65% au cours des quatre derniers trimestres. AERIEN : Un nouveau no1 mondial du transport aérien est en train de naître. Les conseils d’administration d’AMR, maison mère d’American Airlines, et d’US Airways, auraient ainsi approuvé hier soir à New York, chacun de son côté, la fusion entre les deux compagnies américaines, selon la presse économique. Les principaux créanciers d’AMR, placé sous la protection de la loi sur les faillites depuis novembre 2011, auraient donné leur accord à l’opération, qui permettra à la compagnie de sortir du chapitre 11, selon des sources proches du dossier. Le mariage devrait être officiellement annoncé aujourd’hui avant l’ouverture des marchés aux Etats-Unis et ses modalités détaillées seront transmises à la Cour des faillites de New York, en charge du dossier AMR. Pour se réaliser, l’opération devra recevoir le feu vert des autorités de la concurrence et du département américain de la Justice, des procédures qui pourraient durer plusieurs mois.Ce rapprochement créera la première compagnie aérienne mondiale en termes de chiffre d’affaires (environ 39 Mds$) et en nombre de passagers transportés, juste devant United Continental Holdings et Delta Air Lines. Actuellement, American Airlines est le no3 américain, et US Airways le no5 du pays. L’opération est la dernière en date du vaste mouvement de consolidation du secteur aérien aux Etats-Unis, où Delta et Northwest se sont déjà rapprochés, de même que United et Continental. Ce mariage valorisera le nouvel ensemble entre 10 et 11 Milliards de Dollars, indiquent les sources proches du dossier. Les créanciers d’AMR détiendront 72% du capital de la nouvelle entité et les actionnaires d’US Airways le solde, mais c’est le directeur général d’US Airways, Doug Parker, cheville ouvrière de cette fusion, qui dirigera le futur groupe. Le patron d’AMR, Tom Horton, sera son président non-exécutif jusqu’au printemps 2014, date de la première Assemblée Générale du nouveau groupe. La compagnie volera sous la marque American Airlines et aura son siège à Fort Worth, au Texas, où se trouve celui d’AMR, précisent les sources. VEOLIA ENVIRONNEMENT : La dernière émission de titres hybrides de HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Veolia%20Environnement »Veolia Environnement, soit 1 milliard d’euros et 400 millions de livres d’obligations perpétuelles fortement subordonnées, obtient la notation « Baa3 » définitive chez Moody’s. La perspective est stable. L’agence note le produit deux crans sous la notation crédit de l’entreprise (« Baa1″), du fait de ses caractéristiques, notamment sa forte subordination et la faculté offerte à l’émetteur d’en décaler les coupons. EULER HERMES :Euler Hermes a publié un résultat opérationnel 2012 en baisse de 8,4% à 424,7 millions d’euros à l’image du résultat net en retrait de 9,1% à 300,2 millions, pénalisé par le ralentissement économique dans la zone euro. En revanche, le chiffre d’affaires du groupe d’assurance-crédit s’est inscrit en hausse de 5,4% à 2,39 milliards d’euros en 2012, porté par la croissance réalisée hors des marchés européens traditionnels.Euler Hermes a fait état mercredi d’un recul de 9% de son résultat net en 2012, à 300 millions d’euros, ses comptes subissant les effets du ralentissement économique principalement dans la zone euro.L’assureur crédit, filiale de l’assureur allemand Allianz, indique dans un communiqué que son ratio de sinistres ressort à 51,7% à fin 2012 contre 45,1% un an plus tôt.En 2013, nous anticipons une reprise progressive de l’économie mondiale, mais seulement à compter du second semestre », fait savoir la société. »Après cinq années de crise, le PIB mondial ne devrait connaître qu’une croissance modeste essentiellement en raison des difficultés économiques, politiques et sociales de la zone euro », poursuit Euler Hermes. EDF : Au terme de l’exercice 2012, HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=EDF »EDF a généré 72,73 milliards d’euros de chiffre d’affaires, en progression de 11,4% en données publiées et de 5,8% en organique, pour un EBITDA de 16,08 milliards d’euros, qui s’est apprécié de 7,7% en publié et de 4,6% en organique. Ce niveau dépasse légèrement les attentes d’un consensus positionné à 15,95 milliards d’euros. Le bénéfice net courant part du groupe, à 3,31 milliards d’euros, est en hausse de 5,3%. Un dividende de 1,25 euro par action est proposé aux actionnaires. « EDF affiche des résultats en hausse pour 2012, confirmant ainsi une troisième année de progrès où le groupe tient ses engagements », a souligné le président Henri Proglio, qui annonce 12 milliards d’investissements dans les métiers cette année, pour « relever avec détermination les défis de 2013 ». Le groupe affiche une dette nette pro forma de 39,2 milliards d’euros à fin 2012, pour un ratio dette financière nette sur EBITDA de 2,4 fois, contre 2,2 fois un an avant. Cette année, EDF vise une croissance organique de son EBITDA hors Edison comprise entre 0% et 3%. Edison devrait afficher des perspectives d’EBITDA récurrent en ligne avec 2012, avec une fluctuation possible des résultats entre 2013 et 2014 du fait du calendrier de renégociations des contrats d’approvisionnement en gaz. L’énergéticien conserve un objectif de ratio d’endettement financier net / EBITDA compris entre 2 et 2,5 fois, et un taux de distribution de 55% à 65% du résultat net courant. Ces objectifs tiennent compte de l’impact du programme de réduction de coûts « Spark », qui se traduira dès 2013 par une baisse de 5% des achats externes du groupe pour un montant d’environ 1 milliard d’euros. EDF prévoit de fournir une « revue détaillée de la trajectoire financière moyen terme » d’ci à la fin de l’année. BNP : le produit net bancaire de BNP Paribas s’est tassé de 3% à 9,395 milliards d’euros au 4ème trimestre 2012, et son résultat brut d’exploitation davantage encore, de -13,8%, à 2,59 milliards d’euros. Le bénéfice net part du groupe ressort à 514 millions d’euros, amputé d’un tiers par rapport au dernier trimestre 2011. La banque affiche un coefficient d’exploitation de 72,4% contre 68,9% précédemment. Le bénéfice net est significativement inférieur à l’attente du consensus, 922 millions d’euros, à cause de dépréciations totalisant 345 millions d’euros, notamment sur l’Italie. Hors éléments exceptionnels, il aurait atteint 1,05 milliard d’euros, assure la banque. Sur l’exercice entier, l’établissement affiche un PNB de 39,07 milliards d’euros (-7,8%), un RBE de 12,52 milliards d’euros (-23%) et un bénéfice net de 6,55 milliards d’euros (+8,3%), dopé par la plus-value de cession Klépierre. La banque va verser un dividende de 1,50 euro par action. Côté ratios, BNP Paribas affiche un ratio « Common Equity Tier 1 Bâle 3 plein » de 9,9% au 31 décembre. Le ratio « Common Equity Tier 1 » conforme à la directive CRD3 atteint 11,8%. BNP préparera cette année un plan de développement 2014-2016 sur la base des plans d’action des différents pôles avec un objectif de présentation d’ensemble début 2014. Le premier volet de ce plan est le lancement de « Simple and Efficient », une initiative visant à la simplification du fonctionnement interne et à l’amélioration de l’efficacité opérationnelle. Le deuxième volet sera constitué de plans de développement déclinés par métier et par zone géographique, l’Asie-Pacifique étant la première zone présentée. VODAFONE : La filiale allemande de Vodafone compte acheter Kabel Deutschland, rapporte mercredi le site du mensuel allemand Manager Magazin.D’après le magazine, qui ne cite aucune source, le responsable de la filiale allemande de Vodafone a proposé un plan de rachat du câblo-opérateur à la direction générale du groupe.Vers 11h30 GMT, l’action Kabel Deutschland était en hausse de 9,12% à 69,50 euros. Le titre Vodafone perdait 1,96% à 17,1 euros.Thomson Reuters estime la capitalisation boursière de Kabel Deutschland à 5,6 milliards d’euros, en considérant que le titre valait 63,60 euros à la clôture de la Bourse de Francfort mardi STC : Samsung HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000120271&place=XPAR&codif=ISIN »Total Petrochemicals (STC), coentreprise de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000120271&place=XPAR&codif=ISIN »Total et du sud-coréen Samsung, a cessé d’acheter du HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/matieres_premieres/petrole.jsp »pétrole iranien à la demande de son actionnaire français, a déclaré mercredi le directeur général de la branche Raffinage-Chimie de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000120271&place=XPAR&codif=ISIN »Total, Patrick Pouyanné. LAGARDERE : HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000130213&place=XPAR&codif=ISIN »Lagardère a assigné HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000127771&place=XPAR&codif=ISIN »Vivendi en justice, lui demandant de restituer 1,6 milliard d’euros de trésorerie à HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000125460&place=XPAR&codif=ISIN »Canal+ France dont il est actionnaire minoritaire.Cette nouvelle passe d’armes entre les deux groupes intervient dans un contexte financier délicat pour HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000127771&place=XPAR&codif=ISIN »Vivendi, endetté à plus de 14 milliards d’euros et qui prévoit de recomposer la société dans les trimestres à venir dans le cadre d’un nouveau plan stratégique. HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000130213&place=XPAR&codif=ISIN »Lagardère, dans un communiqué, a expliqué mercredi qu’il assignait HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000127771&place=XPAR&codif=ISIN »Vivendi et Groupe HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000125460&place=XPAR&codif=ISIN »Canal+ à comparaître devant le tribunal de commerce de Paris, le 21 mars, car il estime que Vivendi « utilise de façon permanente l’intégralité de l’excédent de trésorerie de HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000125460&place=XPAR&codif=ISIN »Canal+ France par le biais d’une convention de trésorerie dont HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0000130213&place=XPAR&codif=ISIN »Lagardère conteste la légalité ». AIR LIQUIDE : Air Liquide a accru ses résultats en 2012 à la faveur de son développement dans les pays émergents et de ses réductions de coûts de sorte que le groupe se dit confiant dans sa capacité a de nouveau augmenter son bénéfice net en 2013.Le numéro un mondial des gaz industriels a accru de 4,9% son bénéfice net part du groupe à 1.609 millions d’euros (consensus ThomsonReuters de 1.597 millions).Son chiffre d’affaires a totalisé 15.326 millions d’euros (+6% à données publiées et +2,5% en comparable) au regard d’un consensus de 15.261 millions.Au titre de 2012, Air Liquide maintiendra son dividende à 2,50 euros. Compte tenu de l’attribution d’une action gratuite pour 10 détenues en 2012 le dividende est toutefois en augmentation de 10,3%, précise la société dans un communiqué.Air Liquide annonce avoir relevé de 30% à 1,3 milliard d’euros son objectif de mesures d’économies récurrentes pour la période 2011-2015 à 1,3 milliard d’euros, contre un milliard prévu initialement. CISCO SYSTEMS : Cisco Systems a annoncé mercredi des résultats du deuxième trimestre de son exercice 2012-2013 supérieurs aux attentes des analystes financiers, ce qui n’empêche toutefois pas le titre de l’équipementier réseaux de reculer dans les premiers échanges d’après-Bourse. Le groupe américain a dégagé sur la période un chiffre d’affaires de 12,1 milliards de dollars et un bénéfice net hors exceptionnels de 2,7 milliards, soit 0,51 dollar par action.Les analystes financiers avaient anticipé respectivement 12,06 milliards de dollars et 0,48 dollar, selon le consensus Thomson Reuters I/B/E/S.Lors d’une conférence téléphonique, John Chambers, directeur général de Cisco, a dit constater des premiers signes d’une amélioration de la situation en Europe.Il a ajouté que les affaires en préparation en Allemagne et en Europe du Nord donnent lieu à un optimisme prudent, ajoutant toutefois que les conditions restent difficiles dans le sud de l’Europe. »Je vais encore observer la situation pendant encore au moins un trimestre avant de m’emballer », a poursuivi John Chambers. CREDIT AGRICOLE : Un juge américain a débouté mercredi Intesa Sanpaolo qui accusait Crédit agricole de lui avoir causé 180 millions de dollars (134 millions d’euros) de pertes en lui vendant des produits financiers faussés.Le juge Robert Sweet a estimé que la banque italienne a attendu un mois de trop pour porter son affaire devant les tribunaux.Selon la plainte déposée par Intesa, Calyon – devenue depuis Crédit agricole CIB – filiale du Crédit agricole, avait vendu à des investisseurs un CDO (collateralized debt obligation) baptisé Pyxis en le présentant comme un investissement reposant sur des valeurs mobilières adossées à des actifs immobiliers choisies de bonne foi par la société de conseil Putnam Advisory. RENAULT : Le PDG de Renault, Carlos Ghosn, est prêt à faire un geste symbolique sur son salaire si les syndicats signent l’accord de compétitivité qui leur est proposé. »Lors du Conseil d’administration du 13 février 2013, Monsieur Ghosn a proposé le report de 30% de sa part variable de l’année 2012 au 31 décembre 2016, date d’échéance de l’accord Renault, sous réserve de la signature de ce dernier », a déclaré le constructeur dans un communiqué jeudi.Le montant du salaire de Carlos Ghosn au titre de 2012 n’est pas encore connu, mais sur la base de la rémunération touchée au titre de 2011 – 1,59 million de part variable et 1,2 million de rémunération fixe – 30% du salaire variable équivaudraient à 480.000 euros environ.Renault, qui promet de ne pas fermer de site en France en échange notamment d’un gel des salaires et d’un allongement du temps de travail, a précisé que le report de la rémunération de Carlos Ghosn resterait aussi conditionné à la réalisation de l’accord. SOLVAY : La société fait part d’un investissement de 75 Millions d’Euros destiné à la construction d’une nouvelle usine de silice hautement dispersible (HDS), dune capacité annuelle de 85.000 tonnes, à Wloclawek en Pologne. Conjugué à une nouvelle augmentation de capacité de son site de Qingdao (Chine), cet investissement permettra à Solvay d’accroître sa capacité de production mondiale de silice hautement dispersible de 30%. « Nous accompagnons la croissance de nos clients en Europe de l’Est, en Russie et dans le monde. Le site polonais fabriquera nos produits les plus innovants sur une plateforme extrêmement fiable et compétitive. Cette nouvelle implantation nous permettra d’anticiper le développement du marché dans cette région et de consolider notre leadership technologique et commercial », indique Tom Benner, Directeur Général de Solvay Silica. IMERYS : Le groupe HYPERLINK « http://www.boursedirect.fr/recherche-valeur.php?val=Imerys »Imerys a bouclé 2012 sur un chiffre d’affaires de 3,884 milliards d’euros, en croissance de 5,7% en données courantes (-2% sur une base constante), pour un résultat opérationnel courant de 490,1 millions d’euros, qui progresse de 0,6%. La marge baisse mécaniquement de 13,3 à 12,6%. Le bénéfice net part du groupe atteint 310,2 millions d’euros en données courantes, en hausse de 2,3%. Le consensus était positionné à 3,868 milliards d’euros de chiffre d’affaires, 484 millions d’euros de résultat opérationnel courant et 299 millions d’euros de bénéfice net. Imerys fait donc un peu mieux que les attentes.Le groupe propose un dividende en légère hausse de 3,3% à 1,55 euro. Son bilan fait apparaître une dette financière nette de 875 millions d’euros (-15,2%) sur des capitaux propres de 2,27 milliards d’euros (+2,9%). Le cash-flow libre opérationnel courant s’est apprécié de 8,2% à 286,7 millions d’euros. Le président Gilles Michel s’est réjoui de ces résultats et de la réactivité de son entreprise aux conditions de marché, qui a de surcroît « intégré le Groupe Luzenac avec un an d’avance sur le plan initial », tandis que les premières étapes du plan 2012-2016 ont été lancées. « Les résultats de l’année 2012 ont illustré la capacité du Groupe à s’adapter aux aléas conjoncturels et les incertitudes des derniers mois persistent en ce début d’année 2013 », explique le management, qui précise que le groupe va continuer à s’adapter aux conditions. « Grâce à la solidité de ses fondamentaux et de sa structure financière, le Groupe poursuivra cependant, avec prudence et sélectivité, la mise en oeuvre de sa stratégie de développement fondée sur l’innovation, l’expansion géographique et la réalisation d’acquisitions créatrices de valeur à long terme », écrit-il, sans fournir de données chiffrées. GENFIT: Genfit a demandé la mise en oeuvre de la troisième tranche d’un million d’euros de l’emprunt obligataire convertible en actions ordinaires de 8 millions d’euros signé le 20 décembre 2012, ainsi que la conversion en actions de l’intégralité des obligations représentatives de cette troisième tranche. Le capital social de Genfit est donc passé de 4 150 470,25 euros à 4 204 980,75 euros. Le nombre d’actions représentant le capital social de la société biopharmaceutique a été augmenté de 218 042 actions pour être porté de 16 601 881 à 16 819 923 actions. LEGRAND : HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/bourse/synthese.jsp?code=FR0010307819&place=XPAR&codif=ISIN »Legrand a annoncé jeudi une hausse de 5,6% de son bénéfice net en 2012, grâce à ses performances dans les économies émergentes et aux Etats-Unis. Pour 2013, les « anticipations macroéconomiques restent contrastées », a prévenu Legrand dans un communiqué. « Dans un tel contexte et en l’absence de carnet de commandes », le groupe a ajouté prévoir une évolution à périmètre et taux de change constants de son chiffre d’affaires comprise entre -2% et +2%. La marge opérationnelle ajustée, avant prise en compte des acquisitions, devrait s’établir entre 19% et 20% du chiffre d’affaires cette année, contre 19,9% en 2012. En 2012, le bénéfice net de Legrand a atteint 505,6 millions d’euros, contre 478,6 millions d’euros en 2011. La marge opérationnelle ajustée a reculé à 19,6%, contre 20,2% un an plus tôt. Le chiffre d’affaires a progressé de 5,1% à 4,47 milliards d’euros en données publiées, mais s’est replié de 1,4% à périmètre et taux de change constants. Pour sa part, le consensus FactSet de 13 analystes prévoyait un chiffre d’affaires annuel proche de 4,47 milliards d’euros pour un résultat net en progression de 6,6%, à environ 511 millions d’euros. Au titre des résultats de 2012, Legrand proposera un dividende de 1 euro par action, en hausse de 7,5% par rapport à celui versé au titre de 2011. RIO TINTO : Rio Tinto , le troisième groupe minier mondial, a annoncé jeudi une baisse de 47% de son bénéfice courant semestriel, sa pire performance depuis 2009, en raison de la chute des cours des matières premières, tout en évoquant une amélioration de la conjoncture en HYPERLINK « http://bourse.lesechos.fr/recherche/recherche.php?rech_infos=1&exec=1&texte=Chine »Chine. Ces résultats sont les premiers présentés par le nouveau directeur général Sam Walsh, nommé le mois dernier après le limogeage de Tom Albanese et l’annonce de charges de dépréciations de 14 milliards de dollars sur des acquisitions réalisées ces dernières années. (voir: ) Ces charges exceptionnelles ont eu pour effet de faire basculer les comptes annuels du groupe dans le rouge pour la première fois de son histoire. « Pour l’avenir, nous nous attendons à ce que la tendance positive du quatrième trimestre de l’an dernier se prolonge en 2013 avec le retour de la croissance du PIB chinois à plus de 8% en 2013 », a dit Sam Walsh dans un communiqué. TIME WARNER : Time Warner veut céder sa division magazines Time et s’est déjà entretenu avec au moins un candidat sérieux à la reprise de cet actif, rapporte Fortune, publication qui fait partie de cette division, citant des sources anonymes.Selon l’article de Fortune, les discussions en sont à un stade préliminaire.Un porte-parole de Time Warner a déclaré que le groupe ne réagissait pas aux spéculations.La division magazines de Time Warner comprend des titres tels que Time, People, Sports Illustrated et Fortune. Brokers TOTAL :Bernstein a réitéré mercredi son opinion ‘surperformance’ et son objectif de cours de 51 euros sur Total après la publication d’un résultat net ajusté de 3,1 milliards d’euros pour le 4ème trimestre, supérieur de 3% à la prévision moyenne du consensus. Dans son étude, l’intermédiaire financier fait remarquer que le groupe pétrolier a réussi à compenser des performances un peu moins bonnes que prévu dans l’amont par la vigueur de ses activités dans l’aval.Elément encore plus important à ses yeux, Total a su améliorer sa capacité à générer de la trésorerie, l’augmentation du dividende étant entièrement financée par des liquidités additionnelles, et non pas par un recours à l’endettement.L’analyste se félicite par ailleurs de la capacité de Total à fournir des perspectives claires en matière de production, de ‘cash flow’ et de cessions. SOCIETE GENERALE : prix cible baissé à 31 par Deutsche Bank SOCIETE GENERALE : prix cible baissé à 42 par Goldman Sachs L’OREAL : prix cible augmenté à 121 par Barclays FRANCE TELECOM : prix cible baissé à 8.3 par Nomura TOTAL : Bernstein reste à superformance objectif 51 euros LAFARGE : rentre sur la liste des valeurs préférées de Goldman Sachs objectif 57 euros